Le président Alpha, dans une interview fleuve a accordée à
l’hebdomadaire Jeune Afrique, réitéré que les cadres de partis politiques
détenus ne sont pas des prisonniers politiques. Indiquant qu’ils sont arrêtés
pour des raisons qu’il dévoile ci-dessous…
« Les quelques responsables de l’union des forces
démocratiques de Guinée (UFDG) arrêtés l’ont été en tant que commanditaires
directs d’actes de violence commis tant à Conakry qu’à l’intérieur du pays :
maisons incendiées, destructions de biens publics, poteaux électriques sciés,
assassinat des membres des forces de l’ordre, etc...
Il ne s’agit en aucun cas de prisonniers politiques, mais de
fauteurs de troubles, coupables d’avoir envoyé contre la police des jeunes
munis d’armes blanches, parfois des fusils et d’explosifs. Nous avons toutes
les preuves et elles seront exposées lors des procès, y compris les appels au
meurtre contre ma personne. Les Guinéens savent quelle est l’étendue de la
responsabilité de ces gens dans les violences, et pas un chat n’a bougé lors de
leur arrestation. Les jeunes manipulés et téléguidés ont, eux, pour
l’essentiel, été libérés à l’issue de leur peine.
Quant aux leçons venues d’ailleurs, une simple comparaison :
3 200 gilets jaunes ont été condamnés en France entre novembre 2018 et novembre
2019, dont un millier à de la prison ferme. C’est beaucoup plus qu’en Guinée,
pour des délits pourtant beaucoup moins graves. »
La rédaction
clettetry 31 août 2022 00:52
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