Parti dans une clinique clandestine pour pansé sa plaie, le jeune Almamy Soumah en
sort les pieds devant. Il a perdu la vie sur le coup, après qu’on l’ait administré une injection. L’équipe de médecins légiste arrivée sur place
a constaté que celui qui fait l’injection n’est qu’un biologiste. Du coup, les deux agents de santé sur place ont été interpellés.
La dépouille mortelle est envoyée à l’hôpital
Ignace-Den.
L’état de la clinique située à
Gbéssia choque les observateurs, tant l’endroit ne répond à aucun critère de centre de
traitement médical. « Même si on a
un AVC, on ne peut pas s’arrêté dans cette clique », explique un confrère.
Soulignant que cette tragédie relance les débats sur la lutte contre les
cliniques clandestines et les médicaments par terre.
Interrogé de mirador, ce mercredi 8 février 2023, le
ministre porte-parole du gouvernement Ousmane Gaoual Diallo regrette la persistance
des cliniques clandestines. Soulignant que leur interdiction demeure toujours.
GMC