AN 1 de Mirador : Kinderfest pour un premier de cordée

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  • 22 mars 2022 12:30

  • Politique

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Le 22 mars est une date inscrite désormais en lettre d’or dans le parcours du Groupe GFM, en ce sens qu’elle marque la date de mise sur orbite de notre talk-show, « Mirador », navire amiral du landerneau médiatique guinéen. Émission à grande écoute qui vous parvient tous les jours de 8 à 11, ce du lundi au samedi.

Vu la solennité du moment, nous n’allions pas enjamber ce 22 mars 2022, sans sacrifier au rituel de célébration de cet anniversaire. C’est donc tout bonnement que nous soufflons cette première bougie, avec en prime la satisfaction du devoir accompli, sans paganisme ni prudhommerie. Tout en gardant le pied sur le plancher, et la tête dans le guidon, les vigies de la démocratie que nous sommes, ne sont pas de nature à se repaître de vaines gloires. Pour dormir sur leurs lauriers.

Même si nous n’allons pas non plus occulter le fait qu’à la force du poignet, nous ayons réussi à devenir le premier de cordée de l’écosystème médiatique guinéen.

Un véritable tour de force digne d’un stakhanoviste, à mettre à l’actif des vigies de la démocratie à travers « Mirador ». Redonnant ainsi ses lettres de noblesse au journalisme d’investigation. Et cochant de ce pas, la case de média prescripteur.

Comme l’a dit Pierre Corneille, « Aux âmes bien nées, la valeur n’attend point le nombre des années ».

Une telle prouesse ne pouvait être réussie, sans le bon leadership du capitaine de vaisseau. Aboubacar Diallo, tatillon et réputé pour sa raideur inflexible, quand il s’agit du travail bien fait. Pas le genre de capitaine à barrer le navire, quand le vent n’est pas favorable. Et Dieu seul sait que « Mirador » a vu le jour dans un contexte des plus délicats, avec un pouvoir qui donnait des signes d’essoufflement.

Dont les dirigeants, à la sensibilité d’écorchés vifs, étaient prompts à envoyer aux pelotes les « fouilles-merdes ». Maintenant ainsi le pays sous une chape de plomb.

Et c’est à juste raison que la chute du régime a été perçue comme du pain bénit par les « soldats de la démocratie », dont les enquêtes servent désormais de fil conducteur à la CRIEF, institution, rabat-joie, portée sur ses fonts baptismaux par les autorités de la transition.

« Mirador » aborde donc cette deuxième année avec le souffle de l’athlète et l’esprit délié. Bon anniversaire à tous.

Aboubacar Diallo

Directeur Général GFM

 

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