Au procureur de la Cour Pénale Internationale, le FNDC a transmis , le 5 août
dernier, des données qu’il présente comme des preuves des répressions qu’il attribue à la junte
Guinéenne. Indiquant qu’il est donc urgent et fondamental de punir les personnes responsables de ces
actes répréhensibles, afin de les contraindre à respecter les obligations qui
leur incombent en vertu du droit international, notamment le droit
international humanitaire et des droits de l’Homme.