Dans votre émission ‘’Alinéa’’
de ce samedi 10 avril 2021, une question a monopolisé les débat : comment
expliquer la persistance et l’escalade des violences verbales, notamment dans les médias et sur les réseaux
sociaux. Invité, Me Pepé Antoine Lamah donne son point de vue. Résumé …
« Vous avez entre autres la démission de l'Etat qui refuse de mettre en œuvre certaines de ses
prérogatives dans le cadre du
respect de ses obligations internationales. il y'a des organes dont la mise en
œuvre est prévue par des textes de loi mais
qui ne sont pas encore installés , il y'a
la politique de deux poids
deux mesures qui consiste à
accélérer les poursuites contre un
camp et accorder l'impunité à
l'autre. Il y'a aussi le manque de qualification des autorités chargées de la poursuite. L’avocat
à la cour.
La loi sur la cyber criminalité et
celle sur la
presse ont prévu
des peines de prison
allant de 5
à 10 ans d'emprisonnement ferme
et au payement
de 100 à 300 millions
de francs Guinéens.
Aussi, il faut que les organes impliqués dans le cadre de la
lutte contre ce type de pratique jouent leurs rôles. Je veux parler de la
HAC, qui dans le domaine des médias doit
prendre ses responsabilités à l’égard
des médias qui laissent passer ces genres de messages.
Il faut aussi mettre un accent particulier
sur la famille, l’église et la mosquée et les écoles qui doivent aussi éduquer »
AOB